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Le Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine « Les enclos », Guimiliau

Exposition du 17 mai au 8 novembre 2024

«SYMPHONIE de bois et de pierre»

Eglise de Bodilis, blochet et culots de poinçon

Gravures de Jean-Pierre Blaise

L’exposition «SYMPHONIE de bois et de pierre» est une polyphonie du silence illustrée d’images de sculptures. Ces œuvres d’art ont été orchestrées par des mains habiles qui ont façonné le bois ou la pierre pour figer des musiciens sur les sablières, blochets, culots de poinçon, voûtains, retables ou buffets d’orgues aux XV ème, XVI ème et XVII siècles essentiellement.

Les estampes issues de l’ouvrage «SYMPHONIE de bois et de pierre» imprimées en taille-douce, eau-forte et aquatinte restituent les ambiances découvertes lors de mes recherches architecturales et artistiques dans le Finistère, en particulier dans les enclos de la Communauté de Communes du Pays de Landivisiau. C’est une balade silencieuse qui invite le lecteur à découvrir les musiciens mais aussi à écouter leurs musiques et se faire une idée qu’au Moyen-Âge et à la Renaissance la musique et la danse animaient beaucoup de joyeux drilles.

Saint-Vougay, chapelle du château de Kerjean, blochets, XVI ème siècle.

Passé le temps de l’inventaire l’artiste-graveur réunit et fait surgir dans des compositions plus audacieuses, dans la lumière ou les clairs-obscurs, les joueurs de binioùs, bombardes, trompettes, clairons, galoubets-tambourins, flûtes, tambours, mandolines, violons, rebecs, rotes, olifants (oliphants), lyres, harpes ou psaltérions.

Entre poésie et lyrisme les textes de Anne Plihon accompagnent les illustrations gravées sur le cuivre et estampées.

Le Centre d’interprétation architectural et patrimoine de Guimiliau offre l’espace privilégié pour accorder à l’unisson ces musiciens du silence. Il me permet de rendre un hommage à ces sculpteurs anonymes qui ont avivé les architectures de Bretagne et d’ailleurs aux siècles passés.

Jean-Pierre Blaise

Symphonie n°IV, La polyphonie des animaux

« Rêves en rade de Brest 1977 – 2012. Bar à vins « Bar ha Gwin », Plouguerneau

Exposition du 5 avril au 25 mai 2022

Rêves en rade

Gravure de Jean-Pierre Blaise

Un livre d’artiste inspiré par Maison Blanche, port de la rade de Brest.

Brestois de Recouvrance depuis 1953, Jean-Pierre Blaise, élève aux Beaux-Arts, avait construit en 1977 une cabane à la Maison Blanche, petit port de pêche de la rade de Brest . Cette cabane-atelier lui a permis de s’approprier le lieu devenu source d’inspiration et d’expression.

De retour en Nord-Finistère en 2008, il revient sur les lieux avec cuivres et pointes sèches pour réaliser « Rêves en rade » accompagné de l’écrivain Hervé Bellec qui nous montre sa fascination pour la ville de  Brest. C’est à travers son regard inventif, amusé, caustique qu’il accompagne Jean-Pierre Blaise en nous guidant dans les méandres inattendus de la Maison Blanche.

Les estampes imprimées en taille-douce Illustrent divers visages de ce lieu devenu mythique. Les cuivres gravés sont inserrés dans des bas-relief qui rappellent les façades des cabanons de Maison-Blanche

Entre gravure, peinture et sculpture , « Figure de proue », « Fragile », « Enfer du Guil », « Les gardiens du phare » sont autant d’ouvrages réalisés qui témoignent de l’affection de l’artiste pour ce littoral du Finistère qu’il a arpenté si longtemps.

« Ti Jean Lafume », eau-forte et aquatinte

Les estampes et les bas-relief présentés  à la cave à vins et bar "le Bar Ha gwin" ont été réalisés depuis 1977 et continuent de témoigner de l'engouement de Jean-Pierre Blaise pour ce lieu devenu mythique de la rade de Brest.
Estampes et bas-relief avec incrustation de cuivre gravé

Du mardi au jeudi 9h.-12h. 30, 14h. 20h.30 / Vendredi et samedi 8h.- 22 h./

Dimanche 10h. 12h.30, 17h.-20h.30

Un nouveau livre d’artiste

« Les plus beaux chemins se dessinent en marchant« 

Année 2020, mois d’avril. Restriction de déplacement: un kilomètre… Une heure de promenade. Une autorisation dérogatoire dûment signée pour emprunter un chemin alentour de chez soi… Seule une liberté octroyée pour prendre l’air… Celle-ci va s’étendre plus tard à une distance de trois kilomètres… Temps limité: Trois heures. Enfin, plus tard, il nous est permis de quitter le territoire le plus proche pour aller flâner au-delà des frontières du département, de la région. Dès lors la forêt de brocéliande, les bords de la Loire, les Hautes-Pyrénées, le désert de Las Bardenas Reales en Espagne, les gorges de Tolmin en Slovénie nous offrent les sentiers les plus insolites, sources d’émerveillement, de méditation et de rêveries.

Ces autorisations «dérogatoires» auront permis de découvrir, voire redécouvrir les paysages les plus proches mais aussi les plus lointains. Lors de ces marches improvisées, des chemins se sont dessinés mentalement pour se concrétiser, avec la complicité de la pointe à graver, des cuivres étincelants et des encres colorées en une série d’estampes qui constituent cet ouvrage intitulé «Les plus beaux chemins se dessinent en marchant».

La poésie de Anne Plihon, compagne de chaque balade, vient évoquer ces riches impressions et réflexions échangées lors de nos randonnées devenues mémorables, inoubliables.

Jean-Pierre Blaise, août 2021

17,18,19 septembre 2021

« Déchirure »

Bois sculpté, laiton gravé,

miroir et sable, 2021

île Wrac'h

Sur les chemins
En chemin vers les lacs de Bouillouses, eau-forte et aquatinte 18*24 , décembre 2020
eau-forte et aquatinte 15*20 cm
En chemin vers l’île Wrac’h, eau-forte et aquatinte 15*20 décembre 2020

Ce nouveau travail s’inscrit dans la préparation d’un livre d’artiste consacré à l’éloge de la marche dans les chemins,

les sentiers, sous les charmilles, sur la crête des montagnes, au bord des falaises…

En chemin

Le sentier de Poul-Cava, l’Aber-Wrac’h eau-forte et aquatinte 2020

En chemin
les chemins rigolent eau-forte et aquatinte 18*24, 2021

L’Odyssée d’Ostréidaé

Depuis 180 millions d’années, les huîtres, riches d’un pouvoir amoureux, incarnent le mythe d’Aphrodite par ses vertus aphrodisiaques. Casanova, l’amant enjôleur, dévorait des douzaines d’huîtres lors de ses repas.
Au lac Lucrin, en Campanie, province d’Italie, Ostréidaé vivait dans les parcs ostréicoles inventés par Caius Sergius Orata (140-91 av. J.-C.), riche commerçant et sénateur romain.
Ostréidaé commence son Odyssée à l’Aber-Wrac’h où elle échappe aux prédateurs tels que l’huîtrier pie…

 

L'Odyssée

Elle s’aventure à Venise, au Japon, au Cambobge ou en Arctique… 

L’odyssée de l’huître a surgi de l’imaginaire de Jean-Pierre Blaise et de ses cuivres patiemment ciselés.

dans l’atelier de gravure de Menez-Perroz, face à à l’Aber-Wrach.

Anne Plihon-Blaise, avril 2020

 

Odyssée d

 

                                          coffret de 12 estampes signées J.-P. Blaise et haïkus de Anne Plihon-Blaise

 

Les 12 estampes  (eau-forte et aquatinte)

et les écrits de Anne Plihon-Blaise

sont contenues dans un écrin

orné d’un cuivre gravé.

1 exemplaire reste disponible. Pour contact: mail: jean-p.blaise@wanadoo.fr

 

Pierrot l’Océan ( eau-forte et aquatinte 18*24)

 

 

Ostréidaé, le miroir de l’Aber (eau-forte et aquatinte 20*20)

 

 

Suite à la série de gravures consacrées à l’île Wrac’h, au paysage de Saint-Cava à Lilia Plouguerneau, nord-Finistère,

« Ancrage sur l’estran » illustre la plage de Saint-Cava où dans le lointain se dessine la silhouette du phare de l’île Wrac’h qui semble protéger la maison de la petite île Wrac’h qui s’est aventurée loin dans l’Aber.

37 ème salon d’automne

 9 au 24 novembre 2019

Centre culturel l’Alizé

 Guipavas 29490

Jean-Pierre Blaise, invité d’honneur

Pas de danse en Guilvinec. Acrylique sur toile 120*160

« Rêves en rade », la Maison Blanche, port de pêche de la rade de Brest.

Le récit est signé Hervé Bellec.

la Maison Blanche est située sur le littoral de la rade de Brest, Finistère-nord.

Cet endroit, fréquenté par les ouvriers du port, lieu enclavé au milieu des infrastructures militaires, a suscité de l’intérêt pour l’artiste.

Là, des constructions fragiles en bois et en tôle vivement colorées s’imposent au pied des falaises.

Bas-relief peint avec cuivre gravé gravé

Maison Blanche, bonne planque

Livre d’artiste, 24 estampes de Jean-Pierre Blaise, texte de Hervé Bellec

exposition Alizé novembre 2019

détail installation hall Alizé Guipavas

Vernissage de l’exposition

4 graveurs

Le samedi 12 octobre 2019

à partir de 18 heures

Maëlstrom

Galerie « l’atelier Navarin » 15 rue Navarin, Brest

exposition du 12 octobre au 30 novembre 2019

 

Voga longa, Maison blanche, Brest

Exposition de gravures et sculpture

Maison éclusière de Rosvéguen,

Ty Men, Lennon

Du 19 au 22 septembre 2019,

10 h. à 17 heures

   De 1993 à 1995, le canal de Nantes à Brest a inspiré Jean-Pierre Blaise qui habitait à Pont-Coblant sur la commune de Gouézec . Ses sujets favoris étaient les écluses qui jalonnent le cours de l’Aulne.

     Accompagné de Julian Stone qui a écrit le texte « En aval », il a réalisé un coffret d’estampes imprimées en taille-douce et sérigraphie.

    Les ambiances sont des plus diverses et les sujets s’attachent tantôt au paysage des chemins de halage, de l’architecture des biefs

tantôt aux multiples détails des portes d’écluse ou le mouvement de l’eau.

     En plus de la technique de l’eau-forte, la pratique de l’aquatinte participe à créer les clairs-obscurs qui donnent aux images les ambiances mystérieuses, parfois inquiétantes de cet univers d’escaliers d’eau en milieu du Finistère.

le batelier, pointe sèche

Projet organisé

par l’association « il faut sauver le Victor »

et le SMATAH

Syndicat Mixte d’Aménagement Touristique de l’Aulne et de l’Hyères

                              Non-chalant, le Victor, eau-forte et aquatinte, 20*30

 

Onde de la fontaine. Fontaine de Le Folgoët

     En balade dans les chemins creux de Bretagne en quête de lieux riches d’histoires et de légendes, Jean-Pierre Blaise a consacré son nouveau travail à ces sites très particuliers, inattendus qui l’ont séduit et où il a trouvé calme et sérénité le temps d’un croquis pris sur le vif, à l’écoute du chant de l’eau auprès des fontaines.

    Les architectures sont sobres, empreintes parfois à des styles gothiques ou renaissants. Les sculptures sont d’une facture souvent primitive… Mais ! Parfois raffinées elles surprennent…Ici pas de signature, les œuvres sont anonymes. Lieux de cérémonie et de dévotion les fontaines témoignent de cultes ancestraux où la tradition païenne côtoie la foi chrétienne. Le culte des sources et des fontaines est toujours présent: purification de l’âme et guérison des maux du corps.

   De ces itinérances dans les chemins du Finistère, Côtes d’Armor et Morbihan, Jean-Pierre Blaise a accumulé les croquis et choisi 37 fontaines qu’il a transposées en gravure. Le poète Alain Le Beuze a signé les textes réunis dans un coffret d’estampes « Fontaines d’Armor en Argoat ».

    Une installation sculpturale intitulée « Caducée ou l’apothicairerie » complète la démarche pour sublimer, avec les bois sculptés et les encres de couleur, les divers attributs liés à ces sites enchanteurs, sources d’imagination et de créativité.

   Un ensemble de photos numériques ajoute une notion de mystère où dans « l’onde de l’eau des fontaines » on peut deviner l’attachement de Jean-Pierre Blaise à la peinture préraphaélite ou à l’oeuvre de Ange Leccia en hommage aux nymphéas de Claude Monet.

                          Onde de la fontaine, Digigraphie

apothicairerie ou le caducée 2019

 Coffret d’estampes « Fontaines d’Armor en Argoat »,

Coffret de châtaigner avec couvercle de plexiglass sérigraphié
                            24 estampes imprimées sur Johannot 240 gr.
                                      21 textes de Alain Le Beuze

 

 

 

    À travers un panorama d’estampes nées de gravures à l’eau-forte et aquatinte J.P. Blaise illustre les fontaines du Finistère, édifices modestes sis dans des lieux enchanteurs, riches d’histoires et propices à l’imaginaire.

 

     Les textes sont signés Alain Le Beuze.

Texte 10 (extrait)

     Il se baigne nu dans la fontaine aux premières lueurs du jour, quand la campagne étire ses ombres du sommeil, afin qu’aucun regard ne le surprenne. Son geste le rapproche de Julio, jeune ouvrier agricole atteint par la lèpre dans une nouvelle de Miguel Torga, qui s’enduit le corps de miel, espérant trouver sous cet habit de lumière la régénérescence de ses chairs scabieuses.

     Il ne craint pas le sourire du saint à demi balafré par les rognures du temps. Curieux paradoxe pour celui qui est sensé guérir les maladies de peau.

    Il est nu, le corps gangrené par de petites excroissances noirâtres que l’eau doit gommer. La profondeur du bassin ne lui permet pas de s’immerger entièrement. Aussi il s’accroupit et s’éclabousse. Le corps se couvre d’une eau encore fraîche mais qui s’évanouit peu à peu. La lumière le drape d’une fine pellicule d’or et de rouille, si bien que les tumeurs de sa peau prennent des couleurs mordorées, pareilles à des camés sertis dans la chair. Il répète les gestes à l’envi tout en marmonnant des mots brefs, les yeux clos, impatient de constater en les ouvrant le miracle accompli.

    Aucune métamorphose. Le corps est toujours parcouru par cet archipel kysteux…

                   Fontaine Saint Goulven, à Goulven, eau-forte et aquatinte

 

                       fontaine La Clarté, Querrien, eau-forte et aquatinte

 

croquis

Croquis Fontaine Saint Gildas, encre et aquarelle, été 2016

             500 bocaux remplis d’eau colorée avec statuette

 » L’apothicairerie » ou « Caducée », installation sculpturale et vidéo,

a complété l’exposition présentée dans la chapelle de Guicquelleau à le Folgoët , été 2018.

 

 

JPB

 

 

Biennale des bois flottés

Espace Armorica Plouguerneau

20 – 28 mai 2017

« Maelstrom » et « N.-D. Recouvrance » 

Bas-relief incluant des bois flottés et des cuivres gravés

bas-relief bois flotté et peints, cuivre gravé 2017

 

Gisant, bois flotté, miroir et cuivre gravé 2017

 

De Maison Blanche au Gargano

Médiathèque de Plouguerneau

 Les trésors de Tolente

17 janvier- 12 mars 2017

 

 

Les dessins gravés représentent des lieux du Finistère, des bords de Loire, de l’Algarve au sud du Portugal, des chantiers de gondole de Venise et du Gargano en Italie où s’élèvent à flanc de falaise les « trabucchi ».

Ce travail fait suite au livre d’artiste « Rêves en rade », portrait de village de pêcheur en rade de Brest, récit d’Hervé Bellec (réalisation printemps 2014).

Les cuivres gravés, fenêtres flanquées sur les façades des cabanons reflètent le paysage qui leur fait face.

eau-forte 2016

Trabucco, eau-forte, 2016

 

la seconde vie du cuivre gravé

Trabucco des Scorta  2016                                bas-relief bois peints et cuivre gravé

 

bas-relief peint et cuivre gravé

La cabane de San Trovaso, Venise                              bas-relief peint et cuivre gravé

 

Pêcherie des bords de Loire

Les gardiens de la pêcherie                                 sculpture bois cuivre et miroir 2016

 

Pêcherie des bords de Loire

Les gardiens de la pêcherie                           Sculpture bois, cuivre et miroir, 2016

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Architecture et patrimoine»

Sirènes sculptées de Bretagne, Rêves de pierre,

Wrac’h à la ronde, le souffle de Mog Ruith…

Inventaire sirènes sculptées de Bretagne

Les « errances » de Jean-Pierre Blaise se situent du nord au sud du Finistère, des pointes les plus  occidentales

aux vallons encaissés des monts d’Arrée.

        Le paysage maritime mais aussi le patrimoine architectural nourrissent son imaginaire.

         « Rêves de pierre », vingt-deux estampes imprimées en taille-douce sont présentées dans un coffret granité.

C’est l’illustration de l’odyssée de bateaux de pierre imaginée par Jean-Pierre Blaise, graveur et Olivier Cousin, poète.

Phare de l’île Wrac’h

Dans le cadre des journées du patrimoine

Exposition samedi 17 et dimanche 18 septembre 2016

rêve de pierre

                                                        rêve de pierre à l’île Wrac’h


Projet 2016
, « ITINERANCES EN FINISTERE, ART DU PAYSAGE »

Les reflets de cuivre

Le projet « Rêves en rade » avec la complicité de Hervé Bellec, écrivain,  était consacré au paysage de la Maison Blanche, en rade de Brest.

Dans la continuité, les « cabane du pêcheur » et  » cabane du jardinier » révèlent de nombreux endroits que j’ai visités depuis des années. Ces lieux de promenade sont transposés sous forme de bas-relief: façades de cabane avec incrustation de plaques de laiton gravé représentant des ambiances de chantiers navals, de ports de pêche, de jardins ouvriers.

Chaque plaque de laiton ayant servi à imprimer les estampes trouve un seconde vie.

Incrustrée dans le bas-relief, tel un miroir, elle reflète le sujet qui a été gravé par l’eau-forte ou l’aquatinte.

L’île de Sein, Molène, Lesconil, Loctudy, Le Guilvinec, Brest, Le Conquet, Paluden, Aber-Wrac’h et les jardins  des abords de ville et village

sont autant de lieux qui m’ont inspirés pour réaliser l’ensemble des bas-relief où la couleur et les matières jouent un rôle prédominant.

EXPOSITION DU 15 MARS AU 30 AVRIL 2016, ESPACE CULTUREL, LE CHAMP DE FOIRE, PLABENNEC

                                 

MAELSTROM 2

« Maëlstrom »,  bas-relief, carton, bois, laiton, peinture alkyde

 

 

 

Cimetière des bateaux, Le Guilvinec

                            « Encrage », Cimetière des bateaux, Le Guilvinec

bas-relief, carton, bois, laiton, peinture alkyde

la Maison Blanche, Brest

                « La cabane d’Antonio »  la Maison Blanche, Brest

le coffret 2pr

 

Wrac’h à la ronde… Wrac’h à la ronde de nuit, de jour.

C’est un livre d’artiste où sont réunis un récit et des estampes imprimées en taille-douce.

Le récit, ce sont les mots de Jean-Albert Guénégan qui nous conte son séjour sur Roc’h Gored, en avril 2013.

Les images, ce sont les portraits de l’île et de son phare que l’artiste Jean-Pierre Blaise  a croqué et gravé sur les cuivres. Les surfaces « miroir » du métal  gravées par la pointe sèche et l’aquatinte se sont offertes au papier chiffon et à la presse taille-douce pour restituer les multiples ambiances  lumineuses du lieu sis entre terre et mer.

À l’entrée de l’Aber Wrac’h, le phare occupe la partie sud de l’étendue rocheuse nommée ici, Roc’h Gored. À ses pieds se dessinent  les quadrilatères des parcs à huîtres surveillés au sud-est par la Gwarc’h an diaoul.

Telles des figures de proue de navire, les têtes de bergère bloquent les volets ; y’a quelqu ‘un dans la maison blanche. Au sommet de la tour rouge feu l’éolienne siffle à tue-tête. Une web-cam fixée sur le garde-fou du balconnet enregistre les mouvements de la mer et les caprices de la météo. Flux – reflux, marée haute – marée basse rythment les jours où s’enchaînent dépressions et anticyclones .

L’île s’étend vers le nord sur un kilomètre environ. Des rochers anthropomorphes jalonnent le sentier qui se dessine à travers les fougères arborescentes. Sa voisine, l’île Vierge, plein feu, anime l’horizontalité de la mer qui a pour nom La Manche.

            L’ouvrage Wrac’h à la ronde témoigne simplement de moments d’émerveillement et d’inspiration face à ce site enchanteur propice à l’imaginaire.

 le coffret 4pr

 Livre d’artiste imprimé à 14 exemplaires. Gravures imprimées sur papier Johannot 240 gr. Coffret de chêne avec incrustation d’un cuivre gravé

Contact: jean-p.blaise@wanadoo.fr

17 LE PARC 2 pr

Le jardin d’Ostréidaë, eau-forte et aquatinte

Jean-Albert Guénégan en résidence à l'île Wrac'h avril 2014

Jean-Albert Guénégan, écrivain,  en résidence à l’île Wrac’h avril 2013.

 

Résidence avril 2013

Jean-Pierre Blaise, île Wrac’h 2013